Sujet: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc) Ven 1 Avr - 19:17
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IDENTIFICATION
► NOM(S) : Kramer. ► PRÉNOM(S) : William John Armand. ► ÂGE : Physiquement, 17 ans, l'âge que je garderais à jamais. Mon âge réel est de 84 ans. ► RACE : Inutile de préciser que je suis un vampire. ► RÉGIME : Du sang humain puisé aux gorges de mes victimes plus ou moins consentantes.
► STATUT CIVIL : Célibataire. Les femmes sont un dégout constant, les hommes ne sont que de stupides animaux de compagnie. ► RICHESSE : Très riche. Venant d'une famille aristrocrate, je dois avouer que je possède un joli compte en banque. ► TRAITS DE CARACTÈRE : Manipulateur ● Calculateur ● Sadique ● Menteur ● Charmeur ● Pervers ● Joyeux ● Extravagant. ► AVATAR : Robbie Wadge.
QUESTIONNAIRE
► Hey, dis voir, t'en penses quoi de tous ces vampires qui se trimballent à Bon Temps ? : Sérieusement ? Je m'en fout complètement. Ils peuvent bien faire ce qu'ils veulent, c'est pas mon problème. Tant qu'ils essaient pas de chasser MA bouffe, ils font ce qu'ils désirent. ► Et les zombies ? T'en pense quoi ? Tu connaissais leur existence ? : De pâles copies. Ce sont des êtres immondes, répugnants, qui ne méritent pas de vivre. ► Et du sang de synthèse ? : Abject. C'est juste atroce. En boire, c'est tomber bien bas. ► T'aimerai bien être un vamp, toi? : J'en suis un... ► Y en a qu'on un pouvoir particulier. T'en as un ? : Et comment ! J'ai une peau un peu plus résistante que les autres vampires. C'est comme si je portais en permanence un gillet pare-balle. Pas infaillible, mais efficace. ► Ah ouais. Cool pour toi. Mais sinon, en général, tu en penses quoi? : Des pouvoirs ? C'est un niveau de danger supérieur, rien de plus. ► On parle aussi qu'il y aurai des métamorphes dans la région... : Bof. Pas mon problème. ► Sinon, la femme, la famille, les enfants, ça va ? : Je n'ai plus de famille. Mais merci de cette délicate attention.
HISTOIRE
Viens un jour où l'on a envie de raconter son histoire. Ce jour c'est aujourd'hui dans mon cas. J'ai envie de vous faire partager mon enfance, mon adolescence, et puis... non, y'a pas de et puis. J'ai jamais connu l'âge adulte. Et malheureusement -ou pas- pour moi, je n'en saurai jamais rien. Pourquoi cela ? J'suis mort. J'suis mort à dix-sept ans, et depuis, je rode sur terre, immortalisé à toujours dans la pierre froide et instable qu'est la vie. La raison ? J'suis un vampire. Ne souriez pas. J'suis pas Edward et j'vais pas vous faire un putain de jeu de séduction de puceau. J'suis pas un frère Salvatore, j'vais pas vous bassiner avec une histoire d'amour ridicule qui parle d'une fille. Moi c'est William. William John Armand Kramer pour vous servir. L'histoire qui suit est la mienne.
J'suis né en 1927. Pile entre les deux guerres. Le 7 mai pour être plus précis. Mes parents étaient pas mal riches. Mon père était PDG d'une société, inutile de préciser à quel point on avait de la thune à la maison. Il s'appelait John, c'est de lui que j'ai hérité mon deuxième prénom. Ma mère, Clarisse, était femme au foyer, de toute manière, qu'aurait-elle pu faire d'autre, hum ? Les années 30 étaient typiquement masculine, les femmes ne pouvaient rien foutre à part la cuisine et le ménage. Ce qui est leurs places, au fond. Ce qui devrait encore se poursuivre présentement. J'suis pas pour l'indépendance des femmes. Mais ça, on s'en fout. Quand j'suis né, la famille était contente. Y'avait mes parents mais aussi mon grand-frère, Armand, et mon cousin, Diesel. J'aimais beaucoup mon frère, quand bien même c'était plutôt conflictuel entre nous. Et puis mon cousin... mon préféré. En grandissant, nous sommes devenus encore plus proches, si possible. A l'aube de nos 13 ans, l'on s'est aperçus qu'on s'aimait pas qu'en amitié. Ouais je sais, et la morale ? Nous étions jeunes. Personne ne savait à l'époque ce qu'était l'homosexualité, personne ne pouvait même imaginer deux garçons ensemble. Pour nous c'était... comment dire... naturel ? Alors on a franchi le cap, sans nous soucier du reste. C'était un peu étrange. J'ai pas détesté. Mais j'ai pas aimé non plus. Lui était super content. Il voulait toujours recommencer. Mais j'trouvais ça malsain. J'en ai parlé à mon père, parce que j'pensais que c'était la meilleure chose à faire. Il ne m'a rien dit. D'après lui, j'avais été tenté par le diable, qui s'était manifesté sous le visage de mon cousin. Cousin qui devait expulser ses pulsions perverses d'une façon ou d'une autre. Le lendemain, le village où nous habitions était en alerte. « Diesel est mort, tué dans un incendie ». Mon monde s'est effondré. Je soupçonnais fortement mon père. Mais y'a jamais eu de preuves contre lui. Alors j'ai pleuré, puis j'ai commencé à l'oublier. Les années sont passées, tristes et froides, sans le cousin qui savait comment me faire rire. Je n'ai jamais affiché un seul sourire après sa mort. Rien n'avait vraiment d'importance pour moi. Et puis y'a eu cette putain de guerre, les Allemands, encore. C'était en 1939 que les hostilités ont commencés en Europe. On écoutait les nouvelles à la radio, c'était la panique. Les USA se sont pas engagés de suite. Mon frère n'est donc pas parti au front, puisque personne ne prenait encore parti. Moi j'en ai eu marre. Marre de voir mon père me foutre une pression constante, marre de voir ma mère pleurer parce qu'elle avait fait une fausse couche. J'suis parti de la maison en 1942. J'avais quoi ? 15 ans. J'suis parti accompagner mon frère à la guerre. Les gémissements de ma mère ont servis à que dalle. Mon père lui, il était fier. Fier de voir que j'allais devenir un homme.
J'ai tenu 2 ans. 2 ans de tirs croisés, 2 ans de douleur et de privation. C'était l'enfer. Vous ne pouvez pas savoir à quel point faire la guerre est affreux pour un gosse. L'année de mes 17 ans, tout a basculer. Mon frère s'est fait tirer dessus par l'ennemi, une balle dans la tête. J'me souviendrai toujours de son rictus moqueur lorsqu'il était tombé au sol. Moi j'riais pas. J'ai dégommé le salopard qui avait osé le tuer, et puis j'ai chialé. Y'avait plus d'homme en moi. Juste un gosse. Un gosse effrayé. Et puis c'fut mon tour. Une balle, encore. La première m'a pas tué. La deuxième a failli. La troisième m'a achevé. Alors que mes yeux se fermaient et que les ténèbres commençaient à m'emporter, j'ai entendu la voix de Diesel. Sa voix, mais y'avait autre chose. Je sentais le souffle de ses lèvres, j'entendais la mélodie de sa voix. Alors le paradis ça existait pour de vrai ?
Je me suis réveillé pourtant. J'sais pas combien de temps s'était écoulé. Des heures, des jours ? Des semaines peut-être ? Quand mes yeux se sont ouverts, j'ai de suite su qu'un truc clochait. J'étais pas dans un endroit normal. En fait, je voyais rien. Et puis cette terre qui s'enfonçait dans ma bouche quand je l'ouvrait pour humecter mes lèvres... de la terre ? Bordel, j'avais été enterré vivant ! J'étais même pas mort, l'on m'avait sans doute jeté dans une fosse commune sans même vérifier mon état. J'étais terrifié. J'ai hurlé, avalant plus de terre qu'autre chose. Et puis j'ai tout fait pour remonter. Mes ongles étaient déchirés à force de creuser, mais j'ai fini par remonter. Quand ma tête était sortie d'outre trombe, ce fut comme une libération. Et puis j'me suis effondré sur le sol. J'étais pas dans une fosse commune. J'étais même pas dans un cimetière. Non, j'étais dans un jardin. Un jardin d'une magnifique maison. Mais surtout, j'avais faim. Une faim affreuse me brûlait la gorge. Il me fallait du sang. Je ne savais pas pourquoi. Mais le fait était là. J'me suis approché de la maison, et là, surprise. Y'avait un type attaché devant la porte d'entrée. Il ne criait même pas. Il semblait tout à fait conscient de l'endroit où il se trouvait. J'me suis dirigé vers lui, et plus j'avançais, plus je sentais le sang battre dans ses veines. Mes yeux se posaient comme par réflexe sur son cou, alors que ma langue passait tout autour de mes lèvres. Et puis j'ai agis d'une façon étrange. J'me suis jeté sur lui, et j'lui ai enfoncé mes crocs dans son cou tendre. Le sang coulait entre mes canines démesurées. J'voulais même pas comprendre. Tout c'que j'voulais, c'était le bouffer. J'lui ai tiré un maximum de sang avant de sentir une main sur mon épaule. J'ai instinctivement donné un coup de poing à l'imprudent qui menaçait de me voler mon repas quand mes yeux se sont posés sur la silhouette qui se relevait doucement du sol. Elle se rapprocha de moi, avant de me reculer de l'homme enchainé et de me prendre dans les bras. « Calme toi William. Tout va bien. Si tu savais comme je suis heureux de te revoir. » « Diesel ? Mais... l'incendie ? » « Pas le bon cadavre. Une fille m'a trouvé alors que j'étais en train de perdre la vie. J'ai vraiment failli crever. Mais elle m'a sorti de là, et puis jai perdu connaissance. Quand j'me suis réveillé, j'étais mort. Enfin. J'étais toujours vivant, mais d'une façon plus que morbide. J'suis un vampire maintenant. Et toi aussi. J't'ai transformé. » « Quoi ? Tu me raconte quoi là ? » « T'as faim. Le fait de revivre après t'être pris trois balles mortelles. La violence dont tu as fait preuve pour soigner ta faim ? Autant de symptômes prouvant ton appartenance à la race des vampires. J'avais pas le choix. J'pouvais pas te laisser crever. Je t'aime. »
Et voilà. Après quelques difficultés j'ai accepté la difficulté. Depuis, l'on vit ensemble. Lui et moi, à jamais dans la mort. Les années, les décennies ont passées, sans que mon apparence ne change outre mesure. J'aimais ma condition, j'aimais commettre des meurtres dans la simple optique de me nourrir. C'était un jeu constant entre Diesel et moi. Qui en tuerai le plus, qui en ramènerai le premier à la maison pour se faire des parties de jambes en l'air torrides, c'était la belle vie. Et puis y'a eu cet évènement étrange. Le 3 février 2007, il a disparu. Sans laisser de traces. Nous avions partagés 62 ans de notre vie. Il n'avait pas pu partir comme ça. Je soupçonnais un quelconque groupe extrémiste humain, ceux qui n'acceptaient pas forcément notre visibilité. Car ouais, les vampires ont décidés de faire leur coming-out. Moi, j'me plierait pas à leurs lois. J'continue de bouffer des humains, qu'importe les risques. C'est vrai quoi, c'est qui la race supérieur, hein ? J'ai passé 3 ans à le rechercher. Sans aucun résultat. Alors j'ai décidé de venir à Bon temps, une ville ou la population vampirique et surnaturelle bat tout les records. Qui sait, peut-être y retrouverais-je Diesel ? Oubliez tout ce que vous savez des vampires. Tremblez devant les véritables créatures de la nuit, pas les tapettes qui brillent au soleil...
EN DEHORS DU PC
► PSEUDO/PRÉNOM : Cortex. ► ÂGE : 20 ans. ► TU VIENS D'OÙ? : De France. ► FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7. ► POURQUOI ToD? : Parce que c'est le meilleur forum TB que j'ai pu voir sur le net. ► T'EN PENSES QUOI? : Il est vraiment super. ► DES AMÉLIORATIONS À FAIRE? : Oui, il vous faut un Dieu, je suis là au besoin. xD ► UN DERNIER MOT? : Réponse
THE QUIZZ (a):
Validée par Roxie'chou
Dernière édition par William J. Kramer le Ven 1 Avr - 20:49, édité 13 fois
Sujet: Re: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc) Ven 1 Avr - 19:20
BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIENVENUEEncore un vampire >< Décidément, les vampires sont populaires dans le coin, malheureusement pour moi ...
Sujet: Re: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc) Ven 1 Avr - 19:33
Merci pour la bienvenue ! Désolé de prendre un vampire, mais j'en ai jamais joué nul part donc je voulais tenter l'expérience
Sujet: Re: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc) Ven 1 Avr - 19:56
Encore un vampire? ROOOOh mdr. Bienvenue à toi Bonne chance pour ta fiche et si tu as des questions n'hésite pas hihi.
Sujet: Re: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc) Ven 1 Avr - 20:29
Ouai un collègue. Bienvenue. Bonne chance pour ta fiche et si t'as des questions, vient trouver ta collègue avant tout d'accord chéri xD?
Sujet: Re: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc) Ven 1 Avr - 20:50
Merci beaucoup ma jolie compatriote ! Je pense avoir terminé ma fiche, bien qu'elle soit sans doute un peu courte pour un vampire de 83 ans, mais je voulais pas vous casser les pieds avec une fiche hyper longue. Petite question pour le pouvoir, j'en fais la demande avant ou après la validation ?
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T. Roxanne C-Berry
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Sujet: Re: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc) Ven 1 Avr - 20:55
WELCOME Je ne connais pas ton vava, mais il est super mignon Tout me semble correct, je te valide!
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Sujet: Re: William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc)
William ♣ Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile (uc)
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