► STATUT CIVIL : célibataire. ► RICHESSE : paumée. ► TRAITS DE CARACTÈRE : chiante, insouciante, égocentrique, garçon manqué, opportuniste. ► AVATAR : i'd go gay for amber heard.
QUESTIONNAIRE
► Hey, dis voir, t'en penses quoi de tous ces vampires qui se trimballent à Bon Temps ? : honnêtement, j'en ai pas grand chose à foutre, tant qu'on s'en prend pas à ma gueule. Ouais, je sais, je devrais être gentille et faire mine d'être anéantie par les quelques morts que laissent derrière eux ceux qui ne sont pas convertis au True Blood, mais c'est pas le cas. Je suis pas capable de mentir et d'exprimer de la compassion pour des êtres faibles. ► Et les zombies ? T'en pense quoi ? Tu connaissais leur existence ? : J'aimerais bien avoir un serviteur qui ferait mes quatre volontés sans avoir une grande gueule la plupart du temps, idéalement sexy au possible et torse nu la majorité du temps. Ah, oui, qu'il serve de la bière ultra froide, c'est primordial. ► Et du sang de synthèse ? : On ne peut pas aller contre notre nature éternellement, c'est comme comparer les croquettes de poulet surgelées et celles du Mcdonalds, y'a strictement rien à voir. ► T'aimerai bien être un vamp, toi? : Avant de devenir vieille et rabougrie, pourquoi pas, afin de profiter de la vie nettement plus dans la vingtaine éternelle qu'à passer le cap de la quarantaine en étant toujours aussi chiante. ► Y en a qu'on un pouvoir particulier. T'en as un ? : À part être une emmerdeuse professionnelle, une fumeuse de joint en chaîne sans que ça ne me perturbe et de tenir un calepin de mes meilleurs coups? Non, aucun. ► Ah ouais. Cool pour toi. Mais sinon, en général, tu en penses quoi? : Honnêtement? C'est la vie, y'a les flics pour nous blaser et les vampires pour nous saigner. Tant pis! ► On parle aussi qu'il y aurai des métamorphes dans la région... : J'aimerais bien savoir qu'un mec sexy m'observe sous forme de chien ou de loup, ce serait le pied... ► Sinon, la femme, la famille, les enfants, ça va ? : Aussi bien que possible sachant que je suis une célibataire qui n'envisage pas le moins du monde autre chose que la vie idyllique de ne se préoccuper que de ses propres fesses. Un jour, j'aurai un gosse, simplement pour être certaine de léguer à l'humanité une suite digne de ce nom, mais putain, va falloir un dieu grec pour pouvoir être digne de donner la moitié de ses gênes à ma descendance... et puis non hein, c'est pas vraiment une blague, je suis réellement comme ça..
HISTOIRE
« C'est marrant, ça. Je te croyais eunuque de ne pas avoir tenté de me peloter avant aujourd'hui » que je lance, l'air malicieux, portant mon joint à mes lèvres. Je suis assise sur les marches devant la fac, je suis en première année en langues, et honnêtement, je ne me suis jamais autant emmerder de ma vie. Je suis pas fait pour l'école, pour passer de longues heures sur des chaises inconfortables avec comme seul divertissement de déranger le professeur en remontant mon décolleté et en lui faisant des airs de salope. Ça l'a suffisamment perturbé pour qu'il daigne m'en parler après un cours, et que je finisse par lui rouler une pelle, plus par défi que par sincère envie. J'aurais pu passer outre cette ultime barrière de me le faire dans son bureau, mais ça m'amuse vachement moins quand je peux obtenir si facilement un truc dont j'ai envie justement par interdit. Je me sens vivre quand on me pose des limites que je m'empresse de vouloir dépasser. Onyx, chérie, ne monte pas trop haut dans les branches de Nestor, tu risques de te blesser. Il ne fallait que ça pour que je daigne pousser mes limites et que je finisse par tomber, me cassant un bras au passage, mais un grand sourire aux lèvres devant l'air mi-exaspéré, mi-amusé de ma mère. Lilas. Elle est toujours coincée dans les années 1970, pas tout à fait déWoodstockisé. Elle écoute des vinyles de Jimi Hendrix, fume du shit sur notre terrasse, travaille dans une serre avec les plantes. Nestor, c'est l'arbre qui se trouve sur le terrain de notre maison. Il a bercé sa jeunesse, consolé ses peines, camouflé ses premiers sachets d'herbe fidèlement sans jamais la trahir. Non, ma mère est carrément la meilleure de la planète. Sans en être proche - elle est vachement lunatique de toute façon, et lui parler quand j'suis déchirée me fout dans un trip de malade - je m'entends bien avec elle, parce qu'elle gueule jamais, se contente de constater les dégâts. Mon père est plus modéré, mais hippie avec ses cheveux mi-longs, bien que travaillant pour le gouvernement. Les développements urbains, en fait. Maman lui fait souvent la gueule parce que le béton remplace souvent l'herbe « Putain Onyx ». Je souris en décalant mon visage dans sa direction. Les cheveux bruns, longs, les yeux chocolats, la peau mate. Il est grave le mec le plus chaud de l'endroit, et c'est bien parce que ce serait trop ennuyeux de rester ici une fois que je passe le cap avec mon copain de petite école. Le premier garçon que j'ai embrassé et à qui j'ai tenu la main. Pourtant, c'est pas avec lui que je me suis envoyée en l'air, la première fois. Je lui ai préféré son grand frère, ce qu'il a mis des lustres à me pardonner, jusqu'à ce que je lui rappelle sèchement qu'il m'avait dit que j'avais aucune chance avec l'aîné en terminal. Il me connait, Nick. Je vais là où on me fout des interdits. Puis j'aurais pas supporter de lui renvoyer en pleine gueule le fait que je suis indépendante au possible, que je suis égoïste, égocentrique, et si je l'allume, c'est certainement que par ennui que par intérêt particulier. Je ne m'intéresse à personne d'autres que moi même, il doit absolument s'en être rendu compte après douze ans à me fréquenter. Je passe la main dans mes cheveux, m'avance vers lui et dépose le joint entre ses lèvres. Il me regarde, interdit, puis en prend une taffe. Je souris, dépose mes doigts sur le haut de sa cuisse, le sentant se crisper et arrêter le mouvement ascendant vers son aine « Depuis que tu joues au foot, c'est d'autant plus agréable de laisser courir mes doigts sur toi ». Il bloque mes doigts, les redépose sur moi. Il a justement pas idée que c'est lorsqu'il prend ses distances que je me demande pourquoi j'évite de me glisser dans ses draps au beau milieu de la nuit après avoir grimper jusqu'à sa fenêtre. Eh ouais, c'est Juliette qui rejoint Roméo, dans mon univers à moi « Dis plutôt que c'est depuis que j'ai une copine aussi ». Je mords ma lèvre inférieure, ma mâchoire se crispe. Il me fait marrer, Nick, mais comme il est fidèle au possible, je peux même plus profiter de l'occasion pour tenter de nouvelles techniques sur son corps de dieu. Dommage pour lui, et honnêtement, dommage pour moi. On y prend goût de caresser les muscles tendus, sa mâchoire carrée, ses cheveux doux... « Tu vas enfin être dépuceler mon vieux, c'est plus que le temps » que je dis, me redressant, terminant mon joint, un sourire aux lèvres. J'ai jamais voulu savoir quoi que ce soit, surtout pas qui et si c'était le cas. Je me contente de le rappeler à l'ordre sans jamais écouter sa contrepartie. C'est l'heure d'un cours d'allemand, mais y'a rien qui me fait moins envie. Je sors les billets de thunes que j'ai dans mon jeans, sourit. Partir à l'aventure, ce serait bien. J'ai vingt et un ans, putain, pas l'âge de m'ennuyer dans une fac pourrie. Alors qu'il allait répondre une vacherie, je pousse un cri hystérique, balance mon sac plein de bouquins au bout de mes bras « T'es dingue blondasse ». Non, j'suis pas dingue. Je sais ce que je veux - du moins, là, maintenant - et c'est pas rester à côté d'un dieu grec borné et étroit d'esprit, préférant se caser plutôt que se la jouer libertin. Tant pis pour lui, moi, je vais vivre, faire des conneries, boire, fumer et baiser « Je fous le camp d'ici. J'ai horreur de la fac, horreur de cette vie pathétiquement morne. Voir du pays, ouais. Le pied. Toi, tu m'accompagneras jamais, t'es trop pris dans le fil de normalité. Je t'enverrai des cartes postales, et n'oublie pas de m'inviter pour ton mariage afin que je le rendre moins ennuyeusement conventionnel! ». Sur ce, je pique un sprint jusqu'à la Volkswagen Combi de mes parents, paraissant excitée pour la première fois depuis des lustres en leur confiant mon projet...
C'est en sortant de ce bled paumé où j'étais enterrée vivante que j'ai appris pour l'existence des vampires, de cette connerie de Tru Blood, et pour tout le phénomène naturel qui s'éclate en plein États-Unis d'Amérique. J'ai passé des semaines sur la route, avant de me faire prendre en stop par le leader d'un groupe de musique avec qui j'ai passé des semaines à m'envoyer en l'air, à passer backstage et à fumer des joints au point d'en oublier de manger. La putain de grande vie, jusqu'à ce que je finisse par m'emmerder et de le voir s'assagir pour préférer passer du temps solo ensemble plutôt qu'à faire la fête avec ses potes après chaque spectable. Je ne l'aimais pas, je n'aime personne d'autre que moi, c'est clair et net. Les seules personnes que je vais admettre avoir envie de ne pas perdre se résume à mes parents, à Nick, et à Lohé, la seule fille que je supporte parce qu'elle est moins chiante que toutes les autres. Posée, quoique capable de me foutre en rogne en deux temps trois mouvements, du à son incroyable sens de la répartie. Des conneries, en deux ans, j'en ai fait des tas. J'avais d'ailleurs pris la peine, dans un bar, de tremper les lèvres dans du Tru Blood, rien que pour voir ce que c'était. Putain, je me rappelle pas avoir gerber autant auparavant. J'ai rencontré des tas de personnes, pris mon pied de multiples fois, mais évidemment rien qu'avec les heureux gagnants de mon intérêt le temps d'avoir ce que je veux. Ensuite, je me tire, profite de l'argent chipé au passage pour passer à la ville suivante. Je repasse à la maison pour attraper une grosse quantité de shit pour tenir un moment, mais au nombre que je me claque chaque jour, je finis toujours par rencontrer des dealers qui m'offrent autre chose. Je suis fidèle à cette putain de Marie-Jeanne qui m'aide à dormir, m'aide à me réveiller, m'aide à traverser la journée. Accro? Surement, j'y ai jamais pensé, parce que l'idée d'arrêter ne me traverse jamais l'esprit. J'aime trop, j'aime beaucoup trop, en fait...
J'ai eu le malheur d'arriver à Bon Temps. Débarquer dans un bar miteux qui s'appelle le Merlotte. Un endroit qui sent le poisson frit et où les serveuses portent à l'an des tabliers couleur St-Patrick. Drôle d'endroit. J'y entre avec un type, repousse son bras autour de mes épaules. Y'a pas moyen que je m'affiche comme la propriété de quoi que ce soit. J'ai malheureusement eu à éteindre mon joint, en entrant. En contrepartie, je souffle au type que je veux de l'alcool. De la téquila. Du gin. Du cognac. Pour commencer, parce qu'après, je tombe à la bière. Je tiens l'alcool comme un mec, et encore, mieux que plusieurs, d'ailleurs. Il me dit qu'il va aux chiottes, me tend un billet. Merci. Je me rends au bar, toujours cette putain d'odeur de poisson. J'en gerberais jusqu'à ce que je demande au barman deux téquila. J'oublie l'odeur de poisson et un sourire félin s'affiche sur mes lèvres. Il est canon. Il me rappelle Nick, quelque part. Même genre de carrure, l'air insouciant, un peu débraillé. C'est bon, je suis fan. Si on me demanderait ce que je veux, là, maintenant, tout de suite? Lui, impérativement, dans le backstore ou même sur son comptoir, si c'est ce genre de trucs qui le branche. Lui adresse un clin d'oeil avant de retourner à la table du mec que je saoule comme il faut. Doit retourner au WC, profite de l'occasion - après de multiples oeillades peu subtiles, d'ailleurs- pour l'inviter à la table. Il débarque avec une quantité de shooters, puis je me gêne nullement pour lui faire du pied sous la surface de la table, la banquette ouverte, on peut me voir de loin. Je m'en fous. C'est l'alcool, le shit et mes hormones combinés, ça plus mon je-m'en-foutisme, ça fait quelque chose comme du napalm. C'explosif comme pas permis. Incapable de résister plus longtemps, j'attrape sa paume rêche qui me fait frissonner en l'entraîne dans les WC des femmes, non sans passer près du type blasé et déchiré par les verres qui s'en retourne draguer ailleurs. Minable « Onyx ». Je le balance contre le mur, me fout sur la pointe des pieds, l'embrasse fiévreusement, ma langue passant ses lèvres en un quart de secondes. Trop paf pour supporter pareil traitement dans mes stilettos, je dépose mes fesses sur le comptoir des lavabos, l'attire par son t-shirt. Remet ça, jusqu'à ce qu'il m'entraîne dans une cabine. Le fait jusqu'à ne plus tenir debout. Ne relâche que lorsqu'il est même plus en état de se rappeler son nom, faisant crisser mes ongles sur sa peau, collant ma poitrine à son torse « Tu sais, je crois qu'on va s'entendre toi et moi ».
EN DEHORS DU PC
► PSEUDO/PRÉNOM : emmecie. ► ÂGE : vingt ans. ► TU VIENS D'OÙ? : québec, canada. ► FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7. ► POURQUOI ToD? : parce que j'aime true blood et j'aime gâcher la vie de zéphirine. ► T'EN PENSES QUOI? : j'adore, je suis déjà mariée . ► DES AMÉLIORATIONS À FAIRE? : Aucune. ► UN DERNIER MOT? : je crève la dalle!
THE QUIZZ (a):
Céleste is Okay
Dernière édition par Onyx Moreno le Lun 4 Avr - 21:50, édité 7 fois
Sujet: Re: (terminé) ONYX; born to tell you love you? bullshit, let me ask you nicely to go suck on a knife! Dim 3 Avr - 21:30
T'es laide, tu sens mauvais et je vais te buter. Bienvenue, dinde et mauvaise chance pour ta fiche
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Sujet: Re: (terminé) ONYX; born to tell you love you? bullshit, let me ask you nicely to go suck on a knife! Dim 3 Avr - 21:35
HEDLUUUUUUUUUND oh damn insane you fucking biiiiiiiiitch x) avant que tu te fasses paumé par une vampire hideuse, donne moi un gosse. un gamin heard/hedlund, ce sera le prochain dieu suprême de la beauté.
ZÉPHIR; merde à toi, de toute façon, côté sex appeal, y'a pas moyen que kstew fasse de l'ombre à amber, désolé. t'a un gout exotique quoi, trente secondes? puis on se lasse, après, et on revient aux sources, désolé mon chou ^^
Sujet: Re: (terminé) ONYX; born to tell you love you? bullshit, let me ask you nicely to go suck on a knife! Dim 3 Avr - 21:49
Je pense que je vais devenir lesbienne ou bisexuelle rien que pour Amber *o* Tin', en plus la signaaaaaaature Je bave presque devant ... C'trop abusé de faire ça! J'exige un lien, c'est un ordre :OOO Sinon, Bienvenue jolie, magnifique, sublime, orgasmique humaine *____________*
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Sujet: Re: (terminé) ONYX; born to tell you love you? bullshit, let me ask you nicely to go suck on a knife! Dim 3 Avr - 21:53
JENSEN C'est genre mon avatar préféré de tous les temps de lui que tu as mis, je te lève mon chapeau !
OH MY GAWD, KAREN GILLIANNNNNNNNNNNN. c'est clair qu'on se fait un lien de ouff, parce que tu as la plus jolie rousse du monde . HUMAINE ouais, jouet non, à condition que ça lui apporte quelque chose de se la jouer presque soumise (aa).
Puis merci pour la sign, j'avoue que j'ai freaker out en la voyant !
Sujet: Re: (terminé) ONYX; born to tell you love you? bullshit, let me ask you nicely to go suck on a knife! Dim 3 Avr - 22:00
Je sais que je suis la plus jolie rousse du monde, qu'est ce que tu crois (H) C'est un honneur d'avoir un lien avec moi, je te signale Donc, tu n'auras rien en échange, seulement ... un lien de ouf avec la plus rousse de la planète et aussi la plus déjantée ... Quoi que, j'ai de la concurrence depuis quelques temps Oo Franchement, je suis en admiration devant la signature *o*
Sujet: Re: (terminé) ONYX; born to tell you love you? bullshit, let me ask you nicely to go suck on a knife! Dim 3 Avr - 22:20
BIENVENUUUE /on a pas déjà une Heard?/ J'adoooore ta sign *amoureuse mode on* bonne chance pour ta fiche, si tu as des questions n'hésite pas .
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Sujet: Re: (terminé) ONYX; born to tell you love you? bullshit, let me ask you nicely to go suck on a knife! Lun 4 Avr - 7:41
PUCK; juno temple, non mais vous me tuez avec les avas de bombasses que vous avez toutes ici, non mais --' merci pour le pseudo, j'te retourne le compliment d'ailleurs on a qu'à aller se marier en secret à vegas quand tu veux
ANKA; t'es marrante, je t'aime d'amour la possessivité, c'est chaud au possible *bave*
BELLONE; perso j'ai pas vu dans le bottin d'amber heard personnellement, et dans les quelques fiches que j'ai mater. j'espère pour moi en tout cas --' sinon merci, les crédits vont à l'auteur qui l'a mis sur tumblr. Puis BUSH